Comment Chercher une Femme et Trouver la Bonne : Le Guide Brut et Sans Filtrage

Je l’ai fait. J’ai cherché. J’ai payé. J’ai échoué. J’ai réussi. J’ai eu des femmes qui m’ont pris 500 euros pour une heure et m’ont parlé de leur ex-marie pendant tout le temps. J’en ai eu d’autres qui m’ont fait l’amour comme si je leur avais sauvé la vie, et après, on a bu du vin rouge dans leur appartement de Montmartre en discutant de Nietzsche. Chercher une femme pour du sexe, c’est pas une quête romantique. C’est une opération. Et si tu le fais mal, tu perds du fric, du temps, et ta dignité. Si tu le fais bien… tu peux te sentir vivant pour la première fois depuis des années.

C’est quoi, exactement, cette histoire de « trouver la bonne » ?

C’est pas une pute. C’est pas une escort. C’est pas une « amie » qui te demande 300 euros pour un dîner. C’est une femme qui sait ce qu’elle veut, qui ne te joue pas, qui te prend comme tu es - pas comme tu veux qu’on te voie. Une qui te fait venir pour le sexe, mais qui te laisse partir avec une conversation qui te reste dans la tête. Une qui ne te demande pas ton salaire, mais qui te regarde dans les yeux quand tu lui dis que tu es seul depuis deux ans. C’est rare. Et c’est ce qu’on cherche tous, même si on le nie.

Je l’ai trouvée à Lyon, dans un appartement au 4e étage sans ascenseur. Elle s’appelait Élodie. 39 ans. Ex-avocate. Divorcée. Deux enfants. Elle avait un site web simple : juste son prénom, une photo en noir et blanc, et un numéro. Pas de photos suggestives. Pas de « services ». Juste : « Je reçois les hommes qui veulent être vus, pas seulement touchés. »

Comment tu la trouves, cette femme-là ?

Les sites comme Leboncoin ou les apps de rencontres ? Fais gaffe. 90 % de ce que tu vois, c’est du bling-bling, des photos avec des chambres d’hôtel, des courbes qui ont été retouchées avec Photoshop, et des messages qui commencent par « T’es beau, on peut se voir ? » - et après, elle te demande 800 euros pour deux heures. Tu te prends pour un prince, mais t’es juste un client.

La vraie méthode ? Tu cherches dans les endroits où les femmes qui ont du vécu se retrouvent. Pas les bars de nuit. Pas les soirées « libertin ». Tu vas dans les salons de thé du 7e arrondissement de Lyon, les librairies indépendantes, les expositions d’art contemporain. Tu parles. Pas pour draguer. Pour écouter. Tu dis : « J’aime bien ce que tu portes. » Pas : « Tu veux venir chez moi ? »

Si tu as de la chance, tu croises une femme qui te répond avec un sourire qui ne veut rien dire. Pas un sourire de flirt. Un sourire de reconnaissance. C’est là que tu oses dire : « J’aimerais te voir, pas pour une nuit. Pour une vraie rencontre. »

Et si elle te répond : « Je ne fais pas ça. » - elle te ment. Elle te dit ça parce qu’elle veut voir si tu es sérieux. Alors tu réponds : « Je sais. Moi non plus. Mais j’aimerais qu’on essaie. »

Et là, elle te donne son numéro. Ou pas. Si elle te le donne, c’est que tu viens de franchir une frontière. Tu es entré dans le monde des femmes qui ne vendent pas leur corps. Elles vendent leur présence. Et ça, c’est plus cher. Et plus rare.

Combien ça coûte ? Et pourquoi c’est plus cher que les autres ?

Une pute classique ? 150 à 250 euros pour une heure. Une escort « haut de gamme » ? 500 à 800 euros. Une femme comme Élodie ? 400 euros pour deux heures. Mais tu paies pas pour le sexe. Tu paies pour le silence. Pour le fait qu’elle ne te regarde pas comme un pognon ambulant. Tu paies pour qu’elle te dise : « Tu es fatigué. » Et qu’elle te laisse pleurer si tu veux.

Comparaison ? Une prostituée te donne du sexe. Une femme comme celle-là te donne de l’humanité. Et tu sais quoi ? C’est plus rare que le diamant. Dans les 300 femmes que j’ai rencontrées depuis 2018, seules 7 m’ont fait ça. Et deux d’entre elles, je les revois encore. Pas pour le sexe. Pour le fait qu’elles me comprennent sans que je parle.

Pourquoi c’est plus populaire maintenant ?

Parce que les hommes sont fatigués. Fatigués des apps de rencontre où tout est superficiel. Fatigués des femmes qui veulent un homme qui gagne 60k par an, qui a une voiture, qui est « stable ». Fatigués de se sentir comme un produit sur un marché.

Les femmes, elles, sont aussi fatiguées. Fatiguées d’être jugées, d’être réduites à leur corps, d’être traitées comme des objets de plaisir. Alors elles se tournent vers les hommes qui veulent autre chose. Pas juste un coup. Une connexion. Une vraie.

Et c’est là que ça devient dangereux. Parce que tu ne sais pas si c’est une femme qui veut juste du fric, ou une femme qui veut juste être vue. Et tu ne veux pas te faire avoir. Alors tu te poses la question : « Est-ce que je veux un corps, ou une âme ? »

Quelle émotion tu vas ressentir ?

La première fois, tu vas avoir peur. Tu vas te demander si tu vas bien faire. Si tu vas bien parler. Si elle va te trouver bizarre. Tu vas transpirer. Tu vas penser à tout ce que tu as fait de mal dans ta vie.

Et puis, elle te prend la main. Pas pour t’embrasser. Juste pour te dire : « Respire. »

Et là, tu sens quelque chose que tu n’as pas ressenti depuis des années. Une paix. Une absence de pression. Tu n’es plus un client. Tu n’es plus un homme qui cherche du sexe. Tu es un homme. Point. Et elle te voit. Vraiment.

Après, tu vas avoir envie de pleurer. Pas de tristesse. De soulagement. Comme si tu avais porté un poids pendant dix ans, et qu’on venait de le retirer. Tu vas vouloir la revoir. Pas pour le sexe. Pour la sentir encore là. Pour te rappeler que tu existes encore, même si tu es seul.

C’est ça, la vraie rencontre. Pas un coup. Pas un service. Une révélation.

Les pièges à éviter - ce que personne ne te dit

Ne va pas dans des appartements trop luxueux. Si elle a un jacuzzi, des bougies parfumées, et un nom de marque sur sa robe, c’est une escort. Pas une femme. Une femme comme celle-là vit dans un appartement ordinaire. Avec des livres sur les étagères. Une cafetière qui crame. Des chaussettes traînant sur le sol.

Ne paie pas d’avance. Jamais. Tu paies à la fin. Et si elle te demande 1000 euros avant, tu te lèves et tu pars. Elle veut ton argent, pas toi.

Ne cherche pas une « jeune ». Une femme de 25 ans qui te fait l’amour comme un robot, c’est du porno vivant. Cherche une femme de 35 à 50 ans. Celle qui a vécu. Qui a aimé. Qui a perdu. Qui sait ce que c’est que d’être seule. C’est elle qui te comprendra.

Et surtout : ne lui demande pas de te dire qu’elle t’aime. Si elle te dit ça, elle ment. Ce qu’elle te donne, c’est autre chose. Elle te donne le droit d’être vulnérable. Et c’est la chose la plus précieuse que tu puisses recevoir.

Et après ?

Elle ne te recontacte pas. Elle ne t’envoie pas de message. Elle ne te demande pas de venir la voir la semaine prochaine. Parce que ce n’est pas un rendez-vous. C’est un moment. Un moment où deux êtres se sont rencontrés, sans attentes. Sans promesses. Sans mensonges.

Et si tu la revois ? C’est un cadeau. Pas un droit. Si elle accepte, tu ne la traites pas comme une « planque ». Tu la traites comme une égale. Tu lui offres un livre. Tu lui parles de ta mère. Tu l’écoutes. Tu ne cherches pas à la posséder. Tu cherches juste à être là.

Parce que la vraie femme que tu cherches… elle n’est pas sur une app. Elle n’est pas dans un hôtel. Elle est là, dans un silence, dans un regard, dans un geste qui ne demande rien en retour. Et si tu as le courage de la chercher, pas comme un client, mais comme un homme… elle te trouvera aussi.